Chaque semaine les salles sont envahies de nouveautés, des bonnes et des moins bonnes, certaines sont devancées d'une publicité hors-norme et d'autres passent inaperçues... Ci-dessous une toute petite sélection de ce qui pourrait vous tenter, ou de ce que vous avez pu manquer.

Cinéma

Légion - L'Armée des Anges (Sortie le 24 mars)

"La dernière fois que Dieu a perdu foi en l'Homme, il a envoyé le Déluge. Cette fois, il a envoyé des Anges."

Voilà la réplique du film qui résume certainement le mieux ce film, qui, eh oui, peut se résumer en une phrase. Au programme de ce film apocalyptique, l'extermination de la race humaine, et notamment d'un petit groupe d'individus isolés qui va tenter de résister. Y arrivera, y arrivera pas? Un genre de survival donc, avec des répliques hautement intellectuelles et des situations à mi-chemin entre le gore et le ridicule. En parlant de chemin, passez le vôtre, il n'y a rien de bien intéressant derrière cette belle affiche. Dommage...

Ma note : 6/20

Les chèvres du Pentagone (The men who stare at goats, Sortie le 17 mars)

Ewan McGregor et Georges Clooney  forment un duo efficace dans cette comédie délirante, où l'un incarne un journaliste désespéré qui veut se rendre en Irak pour faire ses preuves, et y rencontre l'autre, soldat ayant suivi une formation pour devenir espion medium... Une aventure pleine de surprises, avec hélas quelques moments un peu longs, mais aussi des dialogues cultes. A voir au moins une fois dans sa vie.

Ma note : 14/20

DVD

500 Jours Ensemble (500 Days of Summer, Sortie le 17 mars)

C'est mignon, ça se regarde comme une comédie romantique mais celle-ci vous fait un petit pincement au cœur. D'un côté il y a Tom, ce garçon qui pense avoir enfin trouvé l'amour de sa vie, la femme idéale ; de l'autre, il y a Summer, qui préfère les histoires courtes qui s'arrêtent avant de devenir compliquées. Et si cette histoire quelque peu mielleuse a tout de même de l'intérêt, c'est notamment grâce à la façon dont elle est présentée, que je vous invite à découvrir.
On peut regretter un dénouement un peu expédié cependant.

Ma note : 15/20

Prochainement, de nouvelles critiques...

Major D

Il y a quelques mois de cela (octobre 2009), ce petit joyau est apparu sans faire trop de bruit, sans doute plus habitué à la pénombre des labyrinthes souterrains et effrayé par le faisceau des projecteurs. Pourtant, apportons un peu de lumière sur ce jeu et tant pis s'il n'aime pas ça, car après tout, c'est pour son bien.

C'est quoi ce jeu?

Torchlight est un jeu de rôle de type hack'n slash (tu ouvres la porte, tu tabasses tout ce que tu croises et tu ramasses les trésors) développé par l'équipe qui est à l'origine du célèbre Diablo.
Dans un premier temps, le jeu vous invite à choisir un personnage parmi les trois proposés : le gentil barbare (destroyer), l'alchimiste (alchemist) ou la très sexy aventurière (vanquisher). Premier constat : trois personnages, une classe chacun, et c'est tout. Bon, c'est un peu frustrant, surtout pour ceux qui ont l'habitude de combiner race, classe, métier et régime alimentaire pour être fier de leur perso. On peut tout de même se consoler en choisissant la race de son familier (félin ou canin).

L'histoire

Petite ville minière, la paisible Torchlight se trouve au dessus de mines d'Ambre. Cet élément précieux est l'essence même de la magie et apporte pouvoir et richesse à qui en détient. Seulement voilà, les ouvriers qui ont creusé les galeries sous la ville sont allés trop loin (ça c'est encore à cause des nains...) et ont libéré des forces obscures qui étaient enfermées là-dessous, troublant la tranquillité de la ville. De plus, un mage se tourne vers le côté obscur de la force et souhaite transformer le minerai en Ambre Noir afin d'en décupler la puissance. Quelle cupidité ces mages...
Et bien sûr, le rôle du personnage qu'on incarne dans cette aventure, c'est d'empêcher que ça dégénère pour de bon!

Plongez dans les souterrains

Dès le début, on entre dans le vif du sujet : on passe à travers le premier portail et on se retrouve au premier étage de la mine, à affronter des monstres qui offrent peu de résistance. On avance, on explore, on déniche des armes magiques, on renouvelle son équipement, on revend le reste pour pouvoir s'acheter ce qui nous manque... et les heures passent sans qu'on s'en aperçoive.
Véritablement immersif, ce jeu a du rythme et l'action est quasiment ininterrompue. Les instants de répit sont ceux où on revient en ville (par l'intermédiaire de portails magiques) pour marchander, rendre visite aux donneurs de quêtes, ou mettre de l'ordre dans son inventaire.

Ça va être tout noir

Esthétiquement, il n'y a pas grand chose à redire : le design est plaisant, avec une identité à mi-chemin entre le steam punk et le mediéval. Les graphismes sont soignés, les décors variés et harmonieux. En revanche, on peut regretter qu'ils soient relativement vides. Se balader dans un couloir n'est déjà pas très réjouissant, ne pas avoir grand chose à observer n'aide pas.
Cela dit, on a rarement le temps de s'attarder sur la déco de tel ou tel chambre secrète, les monstres ne sont jamais bien loin.

Durée de (trois) vie(s)

Trois personnages très différents, c'est l'occasion de recommencer le jeu sans avoir l'impression de le recommencer. Un très bon point du jeu également, c'est d'avoir à sa disposition un coffre commun, qui permet aux trois personnages de partager leurs trouvailles. On peut ainsi faire évoluer ses persos en même temps, en donnant par exemple une épée unique au barbare, tout juste trouvée par l'aventurière. Chaque quête étant unique (on ne trouve pas deux fois les mêmes trésors, les souterrains sont générés aléatoirement), c'est même incontournable.

C'est du vol !

Oui, quand vous paierez 20 malheureux dollars (unique moyen de se le procurer pour l'instant, en téléchargement) pour acheter ce jeu, vous aurez l'impression de le voler, parce qu'il les vaut largement. Ce n'est peut-être pas un jeu de première classe, mais on y trouve son compte, avec un véritable plaisir de jouer. Et quand on voit le prix des jeux du marché, celui-ci est un bijou.
Dommage qu'on ne puisse pas se procurer de version boitier pour l'instant, et qu'il ne soit disponible qu'en anglais!

Encore et toujours plus d'infos sur le site officiel : http://www.torchlightgame.com/

Major D

Petit point sur le Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême (du jeudi 28 au dimanche 31 janvier 2010)

Au programme, tout plein d'expo, d'auteurs à découvrir, de dessinateurs à contempler en pleine action, ... et surtout tout plein de BD partout O_O
Cette année, l'auteur à l'honneur était Blutch (personnellement je ne connaissais pas). Au final, une expo, disons, spéciale, assez noire, assez... blutch, quoi ! (c'est devenu un adjectif car c'est très particulier ^^). Après, on ne porte pas de jugement... ! (les artistes sont les artistes)

Comment se déroule une journée-type au festival d'Angoulême ?
1) On se lève tôt, car ça commence tôt (sauf si on habite à côté, c'est bien pratique).

2) Arrivé devant les fameuses "bulles" (les tentes qui accueillent les stands), il faut être dans les premiers pour avoir les petits tickets sacrés qui permettent d'obtenir une dédicace des auteurs les plus reconnus (en gros, c'est chacun pour sa peau, et pas Dieu pour tous parce que tout le monde veut une dédicace ^^). Eh oui ! Les gens changent quand il y a une dédicace en jeu (c'est du vécu -_-), et iraient même jusqu'à tuer père et mère pour rencontrer Loisel, Marini ou encore Guarnido (je vous rassure, ça c'est pas du vécu)... ! :-O Comme vous l'aurez compris, les meilleurs dessinateurs, les dieux vivants et autres adulés sont pris d'assaut, ce qui fait qu'ils limitent beaucoup les dédicaces, à 20, voire 10, ce qui peut être assez frustrant (surtout quand on a passé trois heures debout dans la jungle de la file... ! On est jamais sûr de rien, c'est ce petit côté aventure et suspense qui fait aussi le charme du festival :-D).

3) Grosso modo, on passe plusieurs heures dans les files pour les dédicaces (si on est vraiment passionné), sinon, on se balade aux expos ou aux stands des artistes un peu moins connus (chez qui la file est plus courte héhéhé) ; ça, c'est pour ceux qui aiment bien découvrir des nouvelles choses, AVANT TOUT LE MONDE ! (après on peut se la péter du genre : "Ouais, moi je l'ai connu dans ses débuts, j'ai même contribué à sa réussite etc, etc, on s'connaît bien ! Dis don' il a un peu pris la grosse tête ! Y a deux ans il était plus sympa... etc ! " ^^)

4) Le soir (pour ceux qui vivent le festival A FOND), on peut arpenter les restau' du coin à l'affût des auteurs, qui eux aussi mangent et se reposent, parfois (oui, je vous assure, c'est vrai). Si vraiment ils sont sympa, ils vous accorderont peut-être une petite photo avec eux, ou une micro signature, mais 'faut pas non plus les harceler (comme on vient de le voir, ce sont des êtres humains, ils ont droit au repos... !).

5) La nuit, il est conseillé de dormir (un scoop), de ne surtout pas lire les milliers de BD qu'on vient de s'acheter, parce que le festival doit se prolonger... !


Voici quelques petites découvertes que j'ai faites en me promenant chez les différents éditeurs :

- L'Esprit Perdu, de Bonneval et Bonhomme (sélection officielle de ce festival 2010)
Un conte médiéval très sympathique ! Avec de superbes dessins de créatures originales, vues nulle part ailleurs... ! L'histoire : un jeune garçon, Guillaume, fils d'un personnage important à cette époque moyen-âgeuse, a du mal à accepter la mort de son père, c'est pourquoi il se lance dans une quête (que l'on pourrait qualifier d'initiatique) pour tenter de "sauver l'âme" de son père... Il sera aidé de toutes sortes de personnages, chevaliers, barde et créatures mythiques.

- Nil, Tomes 1 "Les Barbares" et 2 "Le Mastaba", par Adam et Garguilo

 
Un dessin sublime, qui ferait presque penser à un film d'animation... ! L'histoire retrace une petite enquête aux temps des Pharaons, et présente
un superbe aperçu du quotidien et des traditions des égyptiens de l'époque ! Que dire de plus à part que c'est génial ;-) (ça vous aide...)
L'histoire est à suivre... !

- Albatros, Tomes 1 "Shangaïé" et 2 "Mauvais oeil", de Vincent


Pareil, de superbes dessins (oui, j'aime beaucoup le dessin, je trouve que c'est important dans une bande dessinée, vous êtes pas d'accord ?) O_O
Trop fort, Vincent, je l'ai vu plusieurs fois en action :-P Quand il était pas encore trop connu et adulé -_- lol. Il a un style qui rappelle un peu Loisel parfois, mais pas de quoi crier au vol ! ^^ L'histoire est plutôt intrigante, avec un monde des plus originaux où les oiseaux de mer sont hyper dangereux et où les bateaux de pirate volent... Bref, j'adore l'ambiance !

Ursus Arctos

Vous avez toujours rêvé de jouer au yamakasi, de sauter de toit en toit sur les plus hauts buildings de la ville? Alors attention, ce jeu va vous plaire. Sinon, il pourrait bien vous séduire malgré tout, laissez-vous tenter!

Synopsis

Vous incarnez Faith, une messagère, c'est-à-dire une hors-la-loi qui gagne sa vie en délivrant des colis et des informations à travers la ville. Seulement voilà, lorsqu'un personnage important de la ville est assassiné, c'est votre soeur qui est accusée et il va vous falloir sortir au grand jour pour découvrir et rétablir la vérité!


Intuituif et efficace

L'atout majeur du jeu, c'est qu'il plonge littéralement le joueur dans la peau de l'héroïne (eh oui, à en oublier qu'on est un mec ><). Pour ceux qui connaissent les séquences d'escalade à la Prince of Persia (à l'époque de l'Âme du Guerrier, ma référence) c'est assez ressemblant : on court sur les murs, on se balance autour d'une barre, on s'agrippe... Bref, du déjà vu. Par contre, la vue à la première ajoute incontestablement une nouvelle dimension... vertigineuse!
Appréciable aussi, le peu de touches utilisées pour jouer, ça rend le tout plus rapide et plus intuitif. Et ça compte sacrément, dans ce jeu où aux instants de réflexion succèdent des passages d'action  : le timing et les réflexes sont alors vitaux ; une erreur, et c'est la chute !


Sobre mais joli

Côté graphisme, le réalisme est satisfaisant pour ce qui est des décors, mais pas bluffant. L'accent est mis sur les couleurs, très agréables, et qui s'intègrent en plus au game play : les objets en rouge indiquent la voie à prendre, c'est le "sens urbain". En un coup d'oeil, vous savez où vous devez aller.


Court et simple

A mon humble avis, deux inconvénients qui ne sont pas non plus rédhibitoires. Dans l'ensemble, le jeu est assez court (19 épisodes de quelques minutes). Cela dit, s'il était plus long, il deviendrait vite répétitif. Et en ce qui concerne la difficulté, on ne se prend pas souvent la tête. Il y a assez peu de liberté, et si on ne prend pas le temps de chercher les rares objets cachés dans le niveau, on a vite fait d'arriver au bout.


Bilan positif

Au final, il reste comme un léger goût de trop peu ; on est plongé dans une histoire qui s'achève avant même qu'on se soit vraiment identifié à l'héroïne. Une distance qui ne donne pas envie de retenter l'aventure, malgré un bon moment passer en la compagnie de Faith!


Plus d'infos et de contenu téléchargeable sur le site officiel : www.mirrorsedge.com

Major D
 

Je profite de ma prochaine escapade en Suède pour faire découvrir un groupe Finnois (ben uai pas Suédois éhé)

Värttinä

Composé de trois chanteuses et de six musicos, ce groupe mèle des sonorités folk avec un soupçon pop/rock/jazzie.
Les voix sont ensorcelantes et parfois j'ai l'impression de me retrouver un jour de Sabbat au milieu d'une cérémonie mystique ou encore dans les forêts de Finlande (que je n'ai jamais vu d'ailleurs ). Le tout étant chanté en finnois rajoute une touche originale qui charme rapidement. J'ai une préférence pour l'album Iki.
Alors sauter le pas et essayer autre chose que l'anglais !

site officiel

(photo venant du site officiel)

Esmeril

Une bibliothèque pas loin de chez soi c'est franchement pas mal (même si elle est riquiqui). Univers de découverte sans fin, je me lance à chaque fois dans le rayon bd afin de rassasier mon appétit bdesque. Voici mes dernières petites trouvailles :

Les Coeurs boudinés, de Krassinsky, édition Dargaud
Cinq histoires sucrées-salées de femmes (et d'hommes) à croquer ...
A traver cinq petites histoires, un peu comme des courts-métrages, nous découvrons les relations sociales voir même l'amour avec cinq demoiselles girondes et pleines de caractère.  Un bd à dévorer qui se relit sans fin.

Garulfo, de Ayroles, Maïorana et Leprévost, édition Delcourt
(image du tome 3). Une grenouille qui veut être un homme et un prince arrogant et détestable à souhait. Pas de points communs pour l'instant. Sauf lorsqu'ils échangent leurs apparences grâce à un petit mic mac d'une vieille sorcière, improvisé maraine un jour. Aventure, chevalier, humour, gros méchant (enfin pas tant que ça) et biensur  la belle princesse Héphylie ...

La licorne, de Gabella et Jean, édition Delcourt
Cela fait longtemps que je l'ai lu et je n'ai malheureusement pas pu encore lire la suite. Cette bd nous ramène vers le XVI ème siècle où les expériences les plus paticulières se jouaient dans l'ombre et où l'Eglise tenait encore un rôle particulièrement important. Des créatures singulières surgissent ainsi d'on ne sait ou et enmène le lecteur vers une intrigue alléchante.
J'apprécie particulièrement l'époque et ces éléments intégré dans l'histoire. Les recherches interdites, les complots, ... etc. Et les dessins sont splendides.

Esmeril

Parce que c'est tellement bon, voici une recette que j'ai élaboré en fouinant d'autres recettes. C'est une version simple mais tout à fait comestible, tellement qu'on en redemande. Même si en photo ça ne ressemble pas vraiment à un truc appétissant, il faut l'avouer.


Recette très facile
Pour 6 personnes
30 min à peu près de preparation
30min à peu près de cuisson (thm 6)

Ingrédients :
150 gr de farine
120 gr de sucre de canne de préférence
100 gr de beurre à température ambiante
canelle en poudre

Pour les fruits :
un sachet de framboises/3 pommes/une boite de pêche au sirop/bref debrouillez- vous ;)

- Mettre une bonne musique qui bouge et commencé à se dandiner en sortant le matos

- Parce que le gras c'est la vie (cf Kaamelott), beurrer tout d'abord votre (ou vos) plat(s). Disposez ensuite les fruits dans le moule, saupoudrez-les très légèrement de sucre roux de préférence ainsi que de canelle en poudre.

- pré-chauffer le four thermostat 6

- Sur votre table ou dans une terrine, mélangez la farine et le sucre. Puis incorporer le beurre coupé en petit dés.
Malaxer le tout afin d'obtenir une pâte sablé (cf photos), vous pouvez faire roulez entre vos doigts la pâte afin qu'elle s'effrite. Apparemment c'est comme pour le couscous pour celles et ceux qui connaissent, ce qui n'est pas mon cas.
Personnellement je ne remue pas dans tout les sens jusqu'à obtenir quasiment du sable, je préfère laisser quelques petites "boules", c'est meilleur à manger après.

- Incorporez à ce mélange de la canelle

- disposez le sablé sur les fruits en tassant un peu. N'hésitez pas à mettre la dose, ça s'abaisse un peu à la cuisson (surtout avec les framboises)

- re-saupoudré le tout de canelle ainsi que de ucre de canne. Attention à ne pas faire de grosse concentration de sucre sinon après ça donne des plaques de sucre ...

-  Enfourner tout ça dans le four. Pour la cuisson je n'ai pas de temps exact mais à peu près 30minutes, quand ça fait des bulles et que ça sent bon enfaite ... Au feeling. Mais il faut que ce soit doré.

Le tout en photo :

Esmeril

C'est sous ce nom particulièrement débile que s'ouvre ce blog ayant pour but de partager nos coups de coeurs et autres découvertes. Si tout se passe bien ce blog sera fait à plusieurs ce qui permet de couvrir plus de domaines.
Vous pourrez donc trouver des fiches/critique  films, BD, livres, festivals, cuisine, voir même voyage. C'est l'occasion de découvrir de nouvelles choses !
Chaque article sera signé sous le nom du chroniqueur (on se croirait à canal trop bien) qui la rédigé.